http://jaakunakokoro.xooit.fr/index.phpL'histoire dit que quand le monde fut crée, il n'existait que des déserts ...des étendues énormes de sable, dont on ne pouvait pas apercevoir la fin.
Le dieu du mal et la déesse du bien voulurent s'installer dans le petit monde qu'un autre dieu avait créé. Mais bien sur aucun des deux ne voulait partager se monde, ni vivre en harmonie avec son ennemi.
Un duel se déclencha Alors entre les deux dieux, vue qu'ils n'avaient pas encore de serviteurs ils ne pouvaient pas faire une guerre. Ce duel perdura pendant plus de cent ans. Cela peut paraître impossible, mais les dieux et déesses possèdent une force incroyable, et de la magie de destruction ou de guérison qui pourraient faire des ravages.
Bane le dieu du mal qui voulait s'emparer de la terre, posa un genoux par terre, rien que sa fit trembler le petit monde, puisque les dieux étaient des colosses. sa voix monstrueuse et froide retentit de façon forte fesant trembler le sable qui les entourait.
-Théia...je ne voulais pas en arriver la, mais.. fesons de ce monde notre royaume, chaqu un de son coter...
Théia la Déesse posa aussi un genoux a terre due a la fatigue.
-qu'il en soit ainsi....mais a une seule condition....chaque mortel qui naîtra en ce monde, devra choisir son chemin par lui même, nous n'aurons pas le droit de les influencer pour avoir plus de serviteurs que l'autre...c'est compris?
Bane leva la tête, son armure lourde complètement noire ne devait pas être commode a porter. Il tendit la main alors vers Théia. Celle ci, lui serra la main doucement.
après ce jour, Théia commença la construction d'une ville bénigne, elle créa surtout une race qu'elle aimerait pendant très longtemps, les Neïko, qui devinrent des esclaves au fil du temps.
Théia était une déesse douce, affectueuse, charmante, et sensible, et tout ceux qui suivent cette déesse ont l'habitude d'être un peu comme elle. De son coter Bane était malfaisant, un assassin sans scrupules, froid et manipulateur, il créa les démons et vampires de son coter car il adoré leur cruauté.
